Une affaire de paix !

“A celui qui garde son esprit fermement attaché à toi, Tu assures une paix parfaite parce qu’il met sa confiance en Toi.” Es 26. 3

Le monde aspire à la paix, pourtant savez-vous qu’en 3500 années de civilisation seulement 286 ne connurent aucune guerre quelque part sur la terre, alors que plus de 8000 traités de paix furent signés entre les peuples ?

Les hommes cherchent la paix partout excepté au bon endroit, ou auprès de la bonne personne.

La vraie paix ne peut venir que du “prince de la paix”, Jésus Lui-même. La paix ne dépend pas des circonstances, la paix n’est pas l’absence de problèmes, la paix se trouve dans la présence du Père.

Ne courez pas après la paix. Vous ne la trouverez jamais. Elle vous trouvera si vous gardez vos regards fermement fixés sur Jésus. Faites de Lui le centre de votre vie quotidienne et la paix remplira votre cœur. La paix est affaire d’orientation et de concentration !

Si vous demeurez obsédé par les circonstances vous vivrez sans cesse dans l’anxiété. Les circonstances changeront au cours de votre vie, mais Dieu notre Père ne change pas, et rien n’échappe à Son contrôle.

Paix et soucis sont de perpétuels ennemis. Les soucis étouffent votre confiance, réduisent votre vision sur l’avenir et affaiblissent votre esprit et vos jugements.

Au lieu de faire confiance à Dieu qui peut gérer tous vos problèmes, et pour qui rien n’est impossible, vous faire du souci équivaut à voter une motion de censure contre Lui.

Chaque fois que vous doutez de Sa capacité à vous aider et vous guider, vous lui dites en fait : “Je ne pense pas que Tu sois capable de gérer ma situation. Je vais donc porter mon fardeau tout seul et me débrouiller d’une manière ou d’une autre” !

Vous affirmez en outre que vous ne prenez pas Ses promesses au sérieux, que vous tenez le verset 28 de Romains 8 comme exagéré ou carrément le considérez comme un mensonge.

La solution est pourtant simple, suivez à la lettre cet autre verset : “Déchargez-vous sur Lui de tous vos soucis, car Il prend soin de vous” (1 P 5. 7).

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