Ne laissez personne usurper votre identité !

”Le voleur ne se présente que pour voler… Moi, Je suis venu pour que les hommes aient la vie et qu’ils l’aient en abondance.” Jn 10. 10

Vous souvenez-vous du film de Spielberg “Arrête-moi si tu peux” qui retraçait la vie de Frank Abagnale, faussaire de génie mais aussi usurpateur d’identité ? Frank était parvenu, grâce à de faux papiers qu’il s’était fabriqués, à prétendre être un pilote d’avion.

Mais plus sinistres sont les escrocs qui arrivent à usurper l’identité d’autres personnes en se servant des détails de leur carte vitale ou de leur carte de crédit, afin de leur dérober de l’argent ou mettre sur leurs dos des infractions qu’ils ont commises.

Il s’avère très difficile ensuite à la victime de prouver qu’elle est innocente de tout délit. Satan agit parfois de la même manière. N’oublions pas qu’il a commencé il y a bien longtemps en essayant d’usurper l’identité de Dieu (“Je serai semblable au Très-Haut” Es 14. 14). Il continue depuis en cherchant à nous voler notre identité en Christ.

Mais,

1- Nous avons été créés à l’image de Dieu.

2- Il nous connaît par notre nom.

3- Il nous a adoptés en Son fils. Dieu révèle notre identité plusieurs fois dans Sa Parole : “Vous serez Mon peuple et Je serai votre Dieu” (Jr 30. 22).

Aussi veut-Il que nous protégions notre identité, acquise par grâce au prix du sacrifice de Son fils.

Lorsque nous cédons à la tentation de bâtir notre identité sur nous-mêmes, nos réussites, notre vanité ou sur des idoles variées qui prennent la première place dans nos vies, nous rejetons en fait l’identité que Dieu nous a donnée et nous tombons dans le piège de Satan.

Dieu le Père n’a pas de problème avec Son identité, mais Il souffre lorsque nous laissons l’ennemi usurper l’identité qu’Il nous a accordée. Jérémie s’écrie : “Mon peuple a changé sa gloire contre ce qui n’est d’aucun secours !” (Jr 2. 11).

Imaginez : notre gloire est celle du Père !

Notre identité doit nous donner de l’assurance face à Satan, afin que nous puissions lui résister comme Jésus l’a fait avant nous.

Nous saurons alors, sans l’ombre d’un doute, que comme Jésus, nous sommes Ses enfants bien-aimés en qui Il a mis toute Son affection (Mt 3. 17).

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