Sommes-nous prêts pour Son retour ? (1)
“Réjouissons-nous… et donnons-lui gloire, car les noces de l’Agneau sont venues, et son épouse s’est préparée” Ap 19. 7
L’Eglise est considérée, métaphoriquement, comme l’épouse de Christ (Lisez Ap 21. 2, 9-10 ; 19. 7 ou 22. 17). Il est fascinant de remarquer les similarités entre le mariage traditionnel juif au temps de Jésus, et ce que nous enseigne la Bible.
Dans la tradition juive, le futur marié quitte la maison de son père et fait le voyage jusqu’à la maison de la mariée pour “l’acquérir” en contrepartie d’une dot dont le montant est connu de la future mariée. Celle-ci ne peut être “achetée” qu’avec son accord. Un contrat de mariage est alors établi et à partir de ce moment elle est réservée à son futur époux.
Les futurs mariés boivent alors ensemble une coupe de vin au-dessus de laquelle la bénédiction de l’engagement a été prononcée. Dans ce rituel juif, nous découvrons une illustration évidente de l’oeuvre de Christ. Lui aussi a quitté la maison de Son Père dans le ciel, pour faire le voyage jusqu’à la maison de sa future fiancée, notre terre.
Il l’a acquise au prix de Son propre sang (1 Co 6. 20 ; 1 P 1. 18-19). Au moment où sa future épouse accepte ce mariage, Il lui donne un gage d’amour précieux, la présence du Saint-Esprit (1 Co 2. 6-16). Puis Il établit un contrat, la Nouvelle Alliance, en vertu duquel elle Lui appartient (1 Co 6. 11).
La coupe de vin est un symbole de l’engagement qui les lie à jamais. Tous les croyants, par la foi, sont “fiancés” au Seigneur et attendent le jour où le “mariage de l’agneau” sera consommé (Ap 19. 5-9).
Etes-vous excité à la perspective d’assister à cette grande célébration ? Ou votre “premier amour” s’est-il un peu refroidi (Mat 24. 12)?
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