Pourquoi devriez-vous mourir ?
“Le Seigneur voudrait que tous parviennent à se convertir.” 2 P 3. 9
L’apôtre Pierre explique que Dieu retarde le jour de son jugement parce qu’il reste des hommes à sauver.
Le Seigneur ne tarde pas à réaliser Sa promesse, comme certains le pensent.
Mais Il use de patience envers vous, car Il ne veut pas que qui que ce soit aille à sa perte ; au contraire, Il veut que tous aient l’occasion de se détourner du mal.
Cependant, le jour du Seigneur viendra comme un voleur” (2 P 3.9-10). Ce sursis dure encore.
Depuis la chute jusqu’à aujourd’hui, Dieu notre Père use de patience envers les pécheurs que nous sommes.
S’Il avait dû éliminer tous les pécheurs dès une faute commise, la race humaine serait exterminée depuis longtemps.
Heureusement notre Père a choisi de laisser les pécheurs en vie pendant un temps, pour qu’ils aient l’occasion de se repentir, qu’ils vivent et que chaque génération – jusqu’à la dernière – entende l’Évangile et y adhère.
Ce sont là des preuves de la bonté et de la miséricorde du Père qui ne touchent pas seulement les croyants ; elles s’observent dans les bénédictions qu’Il accorde à des personnes encore indignes.
Lorsque Jésus rencontre le jeune homme riche, il est écrit que “l’ayant regardé, Il l’aima” (Mt 10. 21).
Pourtant, à l’issue de l’entretien, le jeune homme se détourne des propositions offrant la vie éternelle avancées par le Seigneur. Il leur préfère ses richesses terrestres immédiates.
L’amour du Père à l’égard de tous est l’illustration des dispositions favorables dans lesquelles est inscrite encore Sa volonté de pardonner et de lever la condamnation toujours en suspens.
Le châtiment n’est pas annulé ; il est seulement différé.
Le message est clair : Dieu ne prend aucun plaisir à l’exécution du jugement final, mais Il se réjouit du salut de ceux qui se tournent enfin vers lui.
“Ce que je désire, dit le Seigneur, ce n’est pas que le méchant meure, c’est qu’il change de conduite et qu’il vive.
Revenez de votre mauvaise voie ; pourquoi devriez-vous mourir ?”(Ez 33.11).
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