Ne vous contentez pas de ce que vous savez déjà !
“Que le sage écoute, et il augmentera son savoir, et celui qui est intelligent acquerra l’art de diriger.” Pr 1. 5
Un vendredi matin, un jeune étudiant de l’Université de Stanford entra dans le bureau d’un certain Louis Janin, propriétaire d’un cabinet d’experts-conseils à San Francisco.
Son intention était d’obtenir un emploi à temps partiel. Janin lui expliqua que le seul emploi qu’il pouvait lui proposer était celui de sténographe. Le jeune homme l’accepta sur le champ, mais lui expliqua qu’il ne pouvait commencer que le mardi suivant. Janin fut d’accord.
Le mardi suivant, le jeune homme arriva à son travail comme prévu. Mais avant de commencer Janin lui demanda : “pourquoi m’avez-vous dit que vous ne pouviez pas venir avant mardi ?”
Le jeune homme répondit : “parce que je devais d’abord louer une machine à écrire et apprendre à m’en servir !” Ce jeune homme était Herbert Hoover, qui plus tard devint président des Etats-Unis d’Amérique.
Aucune compétence ne vous sera jamais inutile.
Même si vous n’utilisez pas directement vos nouvelles compétences ou les nouvelles informations que vous avez acquises, elles exerceront votre esprit et votre réflexion, et augmenteront votre confiance en vous.
On demandait un jour à un presque centenaire pourquoi il venait de s’inscrire à un cours de grec à l’université, vu son grand âge et il répliqua : “Si je ne me lance pas dans cette étude maintenant, quand pensez-vous que je devrais le faire ?”
Il en va de même dans le domaine spirituel. Aucun chrétien ne peut se targuer d’avoir atteint la perfection spirituelle.
Même Paul aspirait à se développer toujours davantage (Ph 3. 12-14).
Les enfants veulent grandir et faire comme leurs parents. Pourquoi en serait-il autrement pour les chrétiens nés de nouveau ?
Ne veulent-ils pas apprendre à se comporter comme leur Père, ou comme Jésus ?
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