Aujourd’hui, pas demain, est le jour du salut !
“La moisson est passée, l’été est fini, et nous ne sommes pas sauvés !” Jr 8. 20
Ces mots, Jérémie les a écrits il y a 2700 ans, aux heures les plus sombres du royaume de Juda. Parce que le peuple avait rejeté Dieu, Dieu les avait abandonnés et un désastre allait s’abattre sur Jérusalem.
Le vieux prophète allait assister au carnage et à la destruction de la ville, sans pouvoir convaincre ses compatriotes que le salut était à portée de mains, en se tournant vers Dieu.
Désespéré par l’endurcissement du peuple et de ses leaders, il demande : “N’y a-t-il plus de baume à Galaad ? N’y a-t-il plus de médecin là-bas ?” (Jr 8. 22). Galaad était une petite ville réputée pour son “baume”, une sorte de résine médicinale.
Le salut n’était pas très loin, mais encore fallait-il aller à la rencontre du médecin capable de les guérir.
La situation de notre société n’est pas très différente de celle dans laquelle vivait Jérémie. Même violence, même immoralité, même idolâtrie, même refus d’écouter les avertissements divins, même obstination.
Pour combien de temps encore Dieu patientera-t-Il avant d’intervenir dans notre monde et de mettre un terme à la civilisation telle que nous la connaissons aujourd’hui ? Quand l’été se terminera, serez-vous sauvé ?
Les laboureurs ont planté leurs graines au printemps, elles ont poussé et produit une récolte. Maintenant elle est près d’être engrangée, mais si vous n’avez pas encore accepté le salut, demain risque d’être trop tard.
Ceux qui n’ont pas accepté le salut forment deux camps, le groupe de ceux qui ont choisi de tourner le dos à Dieu et ne veulent pas d’une relation avec Lui.
Mais encore plus tragique est le sort de ceux qui s’imaginent être prêts à rencontrer Dieu, mais qui n’ont pas accepté de croire que Jésus est “le chemin, la vérité et la vie” (Jn 14. 6).
Ne méprisez pas l’offre du salut en Jésus. Maintenant est peut-être votre jour de l’accepter !
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