Secrets et révélations.

Les choses cachées appartiennent au Seigneur ; les choses révélées nous appartiennent…” Dt 29.28

Notre vie est divisée en deux parties : d’une part il y a les secrets que Dieu a choisi de ne pas nous révéler, les choses que nous ne connaissons pas ou que nous ne comprenons pas et d’autre part il y a les choses qu’Il nous a révélées, les secrets qu’Il a décidé de nous confier.

Lorsque vous ne parvenez pas à comprendre ce qui se passe autour de vous, reconnaissez votre faiblesse et appuyez-vous sur votre foi.

Souvenez-vous qu’Il est Dieu notre Père Tout-Puissant, et qu’Il est bon, car “Ses compassions… se renouvellent chaque matin (Lm 3. 22-23).

Il ne vous bénit pas aujourd’hui pour vous abandonner demain, car “Si nous lui sommes infidèles, Lui demeure fidèle… (2 Tm 2. 13).

Dans bien des cas, le Père a choisi de ne pas nous révéler certains secrets pour notre bien, sachant que nous ne pourrions pas les assumer.

L’avenir de nos enfants, les raisons de nos épreuves, le salut de nos proches, la fin de notre vie, le résultat de nos labeurs… Les choses cachées appartiennent au Seigneur.

Mais Ses révélations nous appartiennent, à nous et à nos enfants. En particulier Ses promesses, contenues dans sa parole.

Nous sommes certains qu’Il demeurera fidèle à notre famille, où qu’elle soit : “Car c’est à vous qu’est destinée la promesse, et à vos enfants ainsi qu’à tous ceux qui sont au loin, aussi nombreux que le Seigneur notre Dieu les appellera” (Ac 2. 39).

Que Sa parole ne s’éloignera pas de notre bouche ni de celle de nos enfants et petits enfants (Dt 59. 21). Dieu connaît notre cœur mieux que nous-mêmes (Ps 139. 1-4).

Il est au courant de nos moindres défaillances, doutes et craintes. Pourtant Il ne les dévoile pas devant tous.

Il les garde cachés dans Son cœur, sans les colporter aux yeux de nos frères et de nos sœurs, car Il déteste la médisance et les accusations.

Satan est l’accusateur (Ap 12. 10), Dieu au contraire couvre de Son amour une multitude de péchés (1 P 4. 8). Dans tous les cas “tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu, qui sont appelés selon Son dessein” (Rm 8. 28).

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