Célébrez la fidélité de Dieu !
“Entrez dans les cours de Son temple avec des louanges ! Célébrez-Le !” Ps 100. 4
L’année 1789 représente pour les français le début de la Révolution française. Mais pour les Américains, c’est l’année où fut célébré le premier “Thanksgiving day”, devenu aujourd’hui l’une des fêtes les plus importantes du calendrier américain.
Le quatrième jeudi de novembre donne l’occasion de célébrer les bontés de Dieu et Sa fidélité envers les Siens. Jésus a un jour guéri dix lépreux, mais un seul est revenu Le remercier pour le miracle dont-il venait d’être bénéficiaire.
Dieu notre Père aime entendre Ses enfants Le remercier et Le célébrer. Nous pouvons Lui exprimer notre reconnaissance. :
1- pour Sa présence à nos côtés, et Ses promesses de ne jamais nous abandonner à nos problèmes. C’est Lui-même qui nous invite à “entrer dans Ses parvis” ! C’est Lui qui a placé Son Esprit en nous.
2- pour Ses bénédictions et Sa compassion renouvelées chaque jour. Son amour ne fluctue pas en fonction des saisons ou de nos performances. Il se plaît à nous enrichir et à nous combler, même quand nous ne sommes pas capables de déterminer exactement ce dont nous avons besoin.
3- pour l’avenir qu’Il a préparé pour nous (Jn 14. 2). Paul nous encourage à Le célébrer sans cesse (Ph 4. 4).
David a composé un grand nombre de chants à la gloire de Dieu et a osé danser devant Dieu pour Lui exprimer sa joie de Le connaître. Comment pouvons-nous Le célébrer sans exprimer de la joie et de l’enthousiasme ?
Connaissez-vous l’histoire de cette petite fille qui venait d’accepter Christ dans son cœur et qui, de retour à la ferme de son grand-père après le culte du dimanche ne put s’empêcher de chanter et de danser de joie.
Son grand-père, de mauvaise humeur, la calma durement en lui disant : “N’as-tu pas honte de te conduire ainsi le jour du Seigneur ? Un peu de retenue, voyons !”
La petite fille toute contrite sortit dans le pré où se tenait immobile une vieille mule triste, tête basse et oreilles tombantes. Elle s’en approcha, mit ses bras autour du cou de l’animal et lui murmura : “Ne pleure plus, ma vieille mule, je suppose que ta religion est la même que celle de Grand’Pa !”
Notre cœur ne devrait-il pas être rempli d’un chant nouveau? (Ps 40. 3).
Laisser un commentaire
Rejoindre la discussion?N’hésitez pas à contribuer !